Parce que la vie n'est qu'une pièce de théâtre incomplète. Parce que quoi qu'on fasse,on en ressortira pas vivant. Parce qu'on ne sait pas si la fin est vraiment la fin. Parce qu'on ne sait pas,ils ont peur. Peur de ce qui les attend,après. Mais ça ne peut pas vraiment être pire qu'ici,non ? Parce qu'on est libre mais prisonnier d'une vie,parce qu'il est difficile de définir le bien du mal. Parce que continuer ne sers peut-être à rien,mais on essaie quand même. Parce que les gens s'inquiètent alors que c'est juste une libération qui leur tend les bras.                                       Parce que la mort,ce n'est pas si horrible que ça,finalement.

Bon le titre est un peu pourrit,mais je suis nulle pour trouver les titres x). Et le "on est libre mais prisonnier d'une vie" vient d'une chanson de Eskemo.

Pour moi la vie est sans raison
Elle me piège d'une certaine façon
Tout le bonheur n'est qu'illusion
Sans aucun avenir à l'horizon.

Rien n'a plus d'importance
Si tout n'est que souffrance
Que je soupir ou que je danse
C'es ici que ma vie balance.

Apparaît alors la tentatin du vide
Celle du danger,celle trop rapide
Certe ce n'est qu'une pensée,timide
Mais elle m'étouffe,son haleine fétide.

La mort est beaucoup trop agile
Rien que l'entendre me rend fébrile
Une envie de respration immobile
Des larmes mourrant au bout des cils.

Malgré ce que vourait mon esprit
Même si la prolonger m'ennuie
Je vais garder ce qui est la vie
Et arrêter d'attendre que ce soit fini.

Elle lui avait lancé un regard,
Il l'avait intercepté.
Elle ne pouvait que s'en apercevoir,
Il savait qu'elle l'aimait

Elle lui avait tout dis,
Il l'avait embrassé,
Elle avait juste sourit,
Il s'en était vanté.

Elle était heureuse,
Il était flatteur.
Elle était amoureuse,
Il était acteur.

Elle lui avait tout donné,
Il lui avait tout pris,
Elle ne faisait que pleurer,
Il s'en était servis.

Bon...il est bof ce poème mais bon,hm,voilà.

Parce que j'ai si peur,
Qu'on me retire cette chaleure,
Qu'ils partent loin,et m'oublie,
Preuve que je ne représente rien,dans leur vie.
Je n'ai aucune place,nulle part,
Même pas capable de chasser ce désespoir.
Pourquoi je m'attache si vite,à ces personnes ?
Celles qui me rendent heureuse,puis m'abandonnent ?
Je ne dois pas être importante pour eux,
Ils partent sans se douter que sur mon visage,il pleut .
Pourtant je me fais avoir à chaque fois.
Et c'est toujours trop tard que je m'en aperçois.                   L'espérance me tue,et me tuera toujours.                                Chaque fois,rendant mon coeur un peu plus lourd.                       Jusqu'à quand ça va encore durer ?                                         Car à force, je ne pourrai plus; aimer.