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Par Hoshiko le 29 Juillet 2014 à 10:58
Dans ma tête je me le dis de façon, genre.. "slam", un peu. Sur l'air de "Lettre à Zoé" (de Fauve). J'aime pas trop le slam normalement mais bon. :]
Au sens propre, figuré, déguisant ou déguisé
Tu m'as laissé seule dans le doute un peu paumée cherchant ma route
Je l'ai pas encore trouvée et j'ai le temps mais, maintenant je sais qu'il est l'heure d'avancer
J'avais besoin qu'tu m'rassures soignant mes plaies et mes brûlures
Me disant que tout irait bien et qu'à nous deux on irait loin
J'étais un peu comme une p'tite fille, un peu naïve un peu gentille
Je disais rien quand tu m'mentais, j'voulais y croire mais je savaisMais un jour j'ai compris, qu'toi aussi t'étais paumé
Qu'j'étais qu'un passage de ta vie et qu'maint'nant j'devais te laisser
C'était dur, assez chiant, de lâcher mon confident
De me dire qu'à présent, à jamais tu s'rais absentJ'avais trop peur que tu m'laisses seule, rien que l'idée me rendait folle
T'étais un peu comme mon calmant, contre mes peurs mes sentiments
Au clair de lune j'levais la tête à la fumée d'une cigarette
J'pensais à toi à nous deux, nos sautes d'humeur nos sauts périlleux
C'était un bal de sentiments qu't'avais fait rentrer dans ma vie
En entraînant avec lui un bel assortiment d'conneriesMais un jour j'ai compris, qu'toi aussi t'étais paumé
Qu'j'étais qu'un passage de ta vie et qu'maint'nant j'devais te laisser
C'était dur, assez chiant, de lâcher mon confident
De me dire qu'à présent, à jamais tu s'rais absentNous c'était puissant et unique, c'était instable et authentique
Nous c'était fort même si bancal, indescriptible et peu banal
C'était un amour amical, une relation pas trop normale
Car franch'ment oui, c'était bien, mais toute bonne chose à une fin
Et comme tu dis c'est peut-être mieux, c'tait un au r'voir pas un adieu
Ouais je sais j'avais promis mais qu'est-ce tu veux je suis partis
Puis on en connait les raisons de c'que t'appelles un abandon
Ca m'a fait mal, ça m'a fait peur, ça m'a fait quelque chose au coeurMais un jour j'ai compris, qu'toi aussi t'étais paumé
Qu'j'étais qu'un passage de ta vie et qu'maint'nant j'devais te laisser
C'était dur, assez chiant, de lâcher mon confident
De me dire qu'à présent, à jamais tu s'rais absentJ'me suis ret'nue de te parler, d'te dire "je t'aime" que tu m'manquais
Et puis un jour, j'ai craqué, j'me suis dis "C'est bon, aller"
Désormais j'sais qu'tu me crois pas et puis au fond merde, ça change quoi?
Mon coeur battant un peu trop vite, à quand la fin, à quand la suite?
J'pouvais pas, j'pouvais plus, attendre la fin qui l'aurai crus?
On avait eu une belle histoire, j'y pense encore quand il fait noir
Mais j'ai remis les pieds sur terre et même si j'regarde en arrière
J'me dis qu'ça passera forcément, même si pour ça faudra du temps
J'dis pas que j't'oublierai un jour, je t'aime encore et pour toujours
Mais j'voudrai juste tourner la page comme tu l'a sûr'ment déjà fait
Me débrouiller seule à la nage dans l'océan de notre passé
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Par Hoshiko le 21 Février 2014 à 17:49
Trainée lumineuse dans l'espace infini,
Toujours présentes, dans le chaos de la nuit.
Elles éclairent les coeurs quand vient le soir,
Font naître par leur brillance, une lueur d'espoir.
Estompant les peurs quand elles deviennent trop fortes,
Ayant le pouvoir de faire revivre une âme morte.
Elles sont puissantes, et bien qu'invisibles le jour,
Elles reviendront, magnifiques, comme toujours.
Cette poussière argentée est d'une beauté iréelle,
Rendant encore plus magique l'immensité du ciel.J'aime beaucoup les étoiles donc.. voilà.
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Par Hoshiko le 20 Février 2014 à 18:58
Je l'ai effleuré de mes doigts,
Et j'ai reculé, comme chaque fois.
Oui, c'est le chagrin,
Que je retiens entre mes mains.
Je ne le laisse pas s'échapper par peur,
De trouver belle cette vie qui m'écoeur.
Par peur, qu'on me retire cette gaité,
Que l'on viendrait juste de me donner.
Repartant ainsi tête basse, malgré mes yeux sec,
Avec le poids écrasant d'un nouvel échec.Pas spécialement de rapport avec moi, juste écrit comme ça, au coin d'une page de bloc-note.
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Par Hoshiko le 21 Décembre 2013 à 11:20
La nuit avale les pleurs
Du coeur bientôt desséché
Elle est faite pour créer la peur
Celle qui t'empêche de crier.
Sous l'essouflement de l'âme affaiblie
Se cache une personne fragile
Et apparaît la fatigue de la vie
Laissant une trace idélibile.
L'esrit qui se vide
Et l'ennui qui résonne
Cette envie de la mort,avide
Comme une partie qu'on abandonne.
A présent,rien n'a de sens
Quelle différence entre rire et souffrir ?
Et puis au fond,quelle importance ?
Qu'importe le résultat,ce sera pire.
Après avoir rendu le coeur sourd
Voilà un monde sans problèmes
C'est une allée simple sans retour
Pour un endroit sans joie ni haine.Bon..c'est sans sens et c'est un peu disons...décousu,mais bon ^^'
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Par Hoshiko le 1 Décembre 2013 à 16:12
Cette perle d'eau,qui roule doucement,
C'est un appel au secour,tu l'entends ?
Elle raconte la tristesse par son tracé,
Sur la joue de la personne,consumée.
Elle a le pouvoir de définir la faiblesse,
De démontrer la douleur,la détresse.
La respiration saccadée peut la suivre,
D'où une voix brisée,parfois,se délivre.
Mais la larme peut aussi couler en silence,
Tentant de ne pas dévoiler son existence.
Au final,sa signification reste la même,
Elle finira par disparaître,comme la peine.
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