• Dans ma tête je me le dis de façon, genre.. "slam", un peu. Sur l'air de "Lettre à Zoé" (de Fauve). J'aime pas trop le slam normalement mais bon. :]

     

    Au sens propre, figuré, déguisant ou déguisé
    Tu m'as laissé seule dans le doute un peu paumée cherchant ma route
    Je l'ai pas encore trouvée et j'ai le temps mais, maintenant je sais qu'il est l'heure d'avancer
    J'avais besoin qu'tu m'rassures soignant mes plaies et mes brûlures
    Me disant que tout irait bien et qu'à nous deux on irait loin
    J'étais un peu comme une p'tite fille, un peu naïve un peu gentille
    Je disais rien quand tu m'mentais, j'voulais y croire mais je savais

     

    Mais un jour j'ai compris, qu'toi aussi t'étais paumé
    Qu'j'étais qu'un passage de ta vie et qu'maint'nant j'devais te laisser
    C'était dur, assez chiant, de lâcher mon confident
    De me dire qu'à présent, à jamais tu s'rais absent

     

    J'avais trop peur que tu m'laisses seule, rien que l'idée me rendait folle
    T'étais un peu comme mon calmant, contre mes peurs mes sentiments
    Au clair de lune j'levais la tête à la fumée d'une cigarette
    J'pensais à toi à nous deux, nos sautes d'humeur nos sauts périlleux
    C'était un bal de sentiments qu't'avais fait rentrer dans ma vie
    En entraînant avec lui un bel assortiment d'conneries

     

    Mais un jour j'ai compris, qu'toi aussi t'étais paumé
    Qu'j'étais qu'un passage de ta vie et qu'maint'nant j'devais te laisser
    C'était dur, assez chiant, de lâcher mon confident
    De me dire qu'à présent, à jamais tu s'rais absent

     

    Nous c'était puissant et unique, c'était instable et authentique
    Nous c'était fort même si bancal, indescriptible et peu banal
    C'était un amour amical, une relation pas trop normale
    Car franch'ment oui, c'était bien, mais toute bonne chose à une fin
    Et comme tu dis c'est peut-être mieux, c'tait un au r'voir pas un adieu
    Ouais je sais j'avais promis mais qu'est-ce tu veux je suis partis
    Puis on en connait les raisons de c'que t'appelles un abandon
    Ca m'a fait mal, ça m'a fait peur, ça m'a fait quelque chose au coeur

     

    Mais un jour j'ai compris, qu'toi aussi t'étais paumé
    Qu'j'étais qu'un passage de ta vie et qu'maint'nant j'devais te laisser
    C'était dur, assez chiant, de lâcher mon confident
    De me dire qu'à présent, à jamais tu s'rais absent

     

    J'me suis ret'nue de te parler, d'te dire "je t'aime" que tu m'manquais
    Et puis un jour, j'ai craqué, j'me suis dis "C'est bon, aller"
    Désormais j'sais qu'tu me crois pas et puis au fond merde, ça change quoi?
    Mon coeur battant un peu trop vite, à quand la fin, à quand la suite?
    J'pouvais pas, j'pouvais plus, attendre la fin qui l'aurai crus?
    On avait eu une belle histoire, j'y pense encore quand il fait noir
    Mais j'ai remis les pieds sur terre et même si j'regarde en arrière
    J'me dis qu'ça passera forcément, même si pour ça faudra du temps
    J'dis pas que j't'oublierai un jour, je t'aime encore et pour toujours
    Mais j'voudrai juste tourner la page comme tu l'a sûr'ment déjà fait
    Me débrouiller seule à la nage dans l'océan de notre passé

     


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  • Anime Girl Look in The Sky

    Trainée lumineuse dans l'espace infini,
    Toujours présentes, dans le chaos de la nuit.
    Elles éclairent les coeurs quand vient le soir,
    Font naître par leur brillance, une lueur d'espoir.
    Estompant les peurs quand elles deviennent trop fortes,
    Ayant le pouvoir de faire revivre une âme morte.
    Elles sont puissantes, et bien qu'invisibles le jour,
    Elles reviendront, magnifiques, comme toujours.
    Cette poussière argentée est d'une beauté iréelle,
    Rendant encore plus magique l'immensité du ciel.

    J'aime beaucoup les étoiles donc.. voilà.


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  • Je l'ai effleuré de mes doigts,
    Et j'ai reculé, comme chaque fois.
    Oui, c'est le chagrin,
    Que je retiens entre mes mains.
    Je ne le laisse pas s'échapper par peur,
    De trouver belle cette vie qui m'écoeur.
    Par peur, qu'on me retire cette gaité,
    Que l'on viendrait juste de me donner.
    Repartant ainsi tête basse, malgré mes yeux sec,
    Avec le poids écrasant d'un nouvel échec.

    Pas spécialement de rapport avec moi, juste écrit comme ça, au coin d'une page de bloc-note.


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  • La nuit avale les pleurs
    Du coeur bientôt desséché
    Elle est faite pour créer la peur
    Celle qui t'empêche de crier.
    Sous l'essouflement de l'âme affaiblie
    Se cache une personne fragile
    Et apparaît la fatigue de la vie
    Laissant une trace idélibile.
    L'esrit qui se vide
    Et l'ennui qui résonne
    Cette envie de la mort,avide
    Comme une partie qu'on abandonne.
    A présent,rien n'a de sens
    Quelle différence entre rire et souffrir ?
    Et puis au fond,quelle importance ?
    Qu'importe le résultat,ce sera pire.
    Après avoir rendu le coeur sourd
    Voilà un monde sans problèmes
    C'est une allée simple sans retour
    Pour un endroit sans joie ni haine.

    Bon..c'est sans sens et c'est un peu disons...décousu,mais bon ^^'


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  • Coisa Boa

    Cette perle d'eau,qui roule doucement,
    C'est un appel au secour,tu l'entends ?
    Elle raconte la tristesse par son tracé,
    Sur la joue de la personne,consumée.
    Elle a le pouvoir de définir la faiblesse,
    De démontrer la douleur,la détresse.
    La respiration saccadée peut la suivre,
    D'où une voix brisée,parfois,se délivre.
    Mais la larme peut aussi couler en silence,
    Tentant de ne pas dévoiler son existence.
    Au final,sa signification reste la même,
    Elle finira par disparaître,comme la peine.


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